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Pendant longtemps dans l’histoire du gukak, les partitions n’existaient pas. Les élèves apprenaient ainsi un chant ou une sonate uniquement par la voix de leur maître ; et une série d’onomatopée a même été adoptée pour chaque type d’instrument de musique. Cette méthode d’enseignement s’appelait le « gueum ».

 Au fil du temps, le « gueum » est devenu un genre musical propre et tenait lieu, par exemple, d’instrument dans un spectacle de danse. De nos jours, il existe un concerto pour gayageum assisté par un chanteur qui reproduit vocalement la musique instrumentale, une forme musicale assez originale, d’autant qu’il ne s’agit pas ici d’un chant accompagné par un instrument de musique, mais qu’au contraire, le chanteur accompagne l’instrumentaliste.

Le « gueum » évoque pour certains le chant A cappella, et pour d’autres un chant liturgique, car la durée des notes et des silences est relativement longue. Il est facile d’imaginer un artiste de « gueum » chanter un chant grégorien.


Liste des mélodies de cette semaine

1. « Daepungryu » dans l’interprétation de Choi Kyung-min.

2. « Kim Chang-jo sanjo pour gayageum de style Kim Juk-pa » avec Yi Yeon-hee au gayageum, Cho Sun-ae au chant et Kim Sang-hun au janggu.

3. « Gueum » interprété par Kim So-hee.

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