Mask Girl (2) : où sont les femmes ?
2023-09-27
#Séoulscope l 2022-09-29
Une histoire d’une ancienne DJ qui est devenue maman célibataire. Le personnage principal, Ina, se lance dans une compétition de musique électronique en rêvant de sa nouvelle carrière à Berlin. Afin d’y arriver, elle doit surmonter des conflits avec sa maman touchée par un trouble mental qui s’attache maladivement à sa fille.
©Jeong Won-hee
Des rencontres dans un club de techno à Paris en 2016 lui ont donné les prémices du scénario de « Doum doum ». La réalisatrice Jeong Won-hee se rappelle : « au début, je ne connaissais pas du tout ce genre de musique... mais j’ai petit à petit appris qu’il y avait quelque chose de particulier dans la musique électronique... on peut réfléchir à des choses sérieuses... ce n’est pas juste pour danser... »
©JINJIN Pictures
Concernant la réaction du public, Won-hee confie qu’elle considère « Doum doum » comme le premier film en Corée du Sud qui aborde le sujet de la musique électronique, un style très peu populaire au pays du Matin clair : « c’est un peu nouveau pour le public mais comme il y a aussi l’histoire de la relation entre la mère et la fille, ils s’y adaptent plutôt bien sans être trop dérangés par la musique. »
©JINJIN Pictures
Les protagonistes sont souvent des femmes dans les oeuvres de Jeong Won-hee, qu’elles soient maman célibataire ou clandestine sino-coréenne (dans son court métrage « Belle ville ») : « je m’intéresse à des gens marginaux... je ne peux pas éviter leurs êtres ». Elle va participer à l’APM (Asian project market) au Festival international du film de Busan, afin de trouver des investissements pour son prochain film, un thriller.
2023-09-27
2023-09-26
2023-09-26
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