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A Hong Kong, un habitant sur trois souffre de trouble de stress post-traumatique suite à la manifestation contre la loi d’extradition, qui dure depuis huit mois. Tel est le résultat d’une étude publiée récemment par une équipe de recherche de l’université de Hong Kong. L’enquête a été menée auprès de 18 000 habitants âgés de plus de 18 ans entre septembre et novembre dernier.

Ce pourcentage est bien plus élevé par rapport à la révolution des parapluies, mouvement pro-démocrate survenue en 2014. A l’époque, seulement 5 % avaient des symptômes de ce trouble. Le professeur Gabriel Leung a souligné la nécessité de mettre en place des traitements psychologiques ainsi que des systèmes de protection sociale supplémentaire.