Park Young-joon, l’ancien ministre de l’Application économique des nouvelles technologies déjà arrêté pour corruption, a été convoqué par le Parquet, cette fois comme témoin dans l’affaire de la surveillance illégale de civils. Et l'interrogatoire a duré pendant plus de huit heures.

Les enquêteurs ont voulu savoir si Park avait signalé la destruction des preuves liées aux activités d’espionnage commise par Lee Young-ho, l’ancien secrétaire de la présidence sud-coréenne en 2010, lorsque les premières investigations étaient menées.

Ils ont également posé des questions sur les documents récemment découverts qui impliquent le service en charge de l’éthique des fonctionnaires rattaché au cabinet du Premier ministre.