Le chef de l’Etat sud-coréen qui est arrivé hier à Bali, a prononcé un discours introductif lors du cinquième Forum pour la démocratie.

Dans ce dernier, Lee Myung-bak a souligné l’importance du respect des droits humains. Et il a profité de cette occasion pour faire part de ses inquiétudes quant aux violations des droits de l’Homme en Corée du Nord et il a également demandé au Japon d’admettre les erreurs commises dans le passé, notamment celle concernant les femmes de réconfort.

Rappelons que le terme « femme de réconfort » désigne les quelque 200 000 femmes qui ont été les esclaves sexuelles de l’armée nipponne avant et pendant la seconde guerre mondiale. Parmi elles, il y avait des Chinoises, des Philippines ou encore des Hollandaises, mais la plupart étaient des Coréennes.