Un équipement de cryphotgraphie a été volée en octobre 2014 dans l'un des bureaux de l'attaché militaire situés en Europe. Il s'agit d’un appareil qui transforme les textes confidentiels en codes secrets. Cet accident a eu lieu à l’un des sièges européens de l’Agence sud-coréenne pour le développement de la défense (ADD).
 
Le Service national du renseignement (NIS) et les autorités militaires ont enquêté sur ce vol et puni le responsable de cette « perte ». Le ministère de la Défense a ensuite récupéré tous les exemplaires du même instrument installés à l'étranger. Il a procédé au changement du programme d'encodage et des clés de décodage.
 
Or, aucun éclaircissement n'a été apporté sur cette perte qui pourrait s'avérer être un vol. Il est également impossible de nier la possible fuite d'informations confidentielles. D'où les critiques à l'égard des autorités militaires qui auraient minimisé l'affaire pour ne pas susciter de conflits diplomatiques.