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International

Le ministre japonais des Affaires étrangères reconnait le droit des victimes du travail forcé de réclamer des dédommagements

Write: 2018-11-17 11:49:21Update: 2018-11-17 14:54:59

Le ministre japonais des Affaires étrangères reconnait le droit des victimes du travail forcé de réclamer des dédommagements

Le chef de la diplomatie japonaise a reconnu que le droit de réclamer un dédommagement des civils, victimes du travail forcé, n’avait pas expiré avec l’accord signé entre la Corée du Sud et le Japon en 1965.

Interrogé par un député d’un parti d’opposition à la Diète, Taro Kono a tenu ce propos, reprenant la position d’un directeur chargé des accords en 1992 au sein du ministre japonais des Affaires étrangères.

Cette déclaration est la première reconnaissance du gouvernement nippon concernant la validité du droit des victimes de réclamer une indemnisation. Elle a été également soutenue par le directeur de la loi internationale des autorités diplomatiques du pays voisin.

Jusque là, Taro Kono considérait le dossier lié au travail forcé résolu grâce à l’accord bilatéral. Bien qu’il ait affiché deux positions différentes concernant le même traité, ses derniers propos sont significatifs, car ils remettent en question la position officielle de l’Archipel.

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