Aller au menu Aller à la page
Go Top

International

Femmes de réconfort : le CED critique Tokyo pour l'absence d'enquêtes sur les disparues

Write: 2018-11-22 15:00:47Update: 2018-11-23 09:32:10

Photo : KBS News

Le Comité des disparitions forcées (CED), placé sous l’égide du Haut commissariat des Nations unies aux droits de l’homme (HCDH), a critiqué le Japon pour ne pas fournir suffisamment d’efforts en vue de résoudre le dossier des anciennes « femmes de réconfort ».

Dans un rapport publié mardi, il lui a notamment reproché l’insuffisance des indemnisations et son manque de volonté afin de faire la lumière sur le sort des « wianbu » disparues.

Depuis l’année dernière, plusieurs comités onusiens continuent de pointer du doigt le gouvernement nippon au sujet de ces esclaves sexuelles de l’armée impériale japonaise.

Le terme « femmes de réconfort », ou « wianbu » en coréen, désigne les quelque 200 000 jeunes femmes qui ont été forcées de se prostituer pour les soldats japonais durant la première moitié du 20e siècle. Parmi elles se trouvaient des Chinoises, des Philippines, des Indonésiennes ou encore des Hollandaises, mais la plupart étaient Coréennes. Elles demandent sans arrêt des excuses officielles de Tokyo, mais ce dernier continue de faire la sourde oreille.

Contenus recommandés

Close

Notre site utilise des cookies et d'autres techniques pour offrir une meilleure qualité de services. En continuant à visiter le site, vous acceptez l'usage de ces techniques et notre politique. Voir en détail >