L’Assemblée nationale reprendra lundi prochain ses travaux, cette fois en session extraordinaire. C’est une décision prise hier après-midi lors d’une rencontre entre son président et les chefs de groupe parlementaire des cinq principaux partis.
En dépit de cette décision, la situation demeure toujours bloquée. La durée et l’ordre du jour de la nouvelle session ne sont pas encore déterminés. Et chaque formation campe sur sa position concernant des dossiers brûlants comme la flexibilité des horaires de travail ou la réforme du système électoral.
A propos de cet amendement, le parti au pouvoir et l’opposition se sont seulement accordés sur la prolongation du mandat du comité parlementaire en charge des réformes politiques. Un mandat qui doit expirer à la fin de l’année. C’est ce comité qui planche sur les orientations du nouveau système électoral.