L’ancien président de la Cour suprême Yang Seung-tae a comparu de nouveau, ce matin, devant le Parquet, cette fois à huis clos, contrairement à sa première convocation vendredi dernier.

Lors de cette nouvelle audition, les questions porteront entre autres sur le détournement de documents confidentiels de la Cour constitutionnelle. Il y a trois jours, il a été interrogé sur son influence dans les procès intentés contre des entreprises japonaises par d’anciens travailleurs d’origine coréenne victimes de travail forcé durant la Seconde guerre mondiale.

Devenu le premier ex-chef de la plus haute juridiction du pays à être interrogé en tant que suspect, Yang rejette en bloc tous les soupçons qui pèsent sur lui.