Le président de la République a réagi aux paroles dénigrantes de trois députés du Parti Liberté Corée (PLC) contre le mouvement de Gwangju en 1980.
Hier, lors d’une conférence hebdomadaire avec son équipe de la Maison bleue, Moon Jae-in a affirmé que ces propos étaient la négation de la démocratisation, de l’histoire et de l’esprit de la Constitution du pays.
Vous vous souvenez que lors d’une réunion publique organisée le 8 février par deux élus PLC et une association conservatrice, des participants ont qualifié l’événement de Gwangju d’« insurrection dans laquelle était impliquée l’armée nord-coréenne ». Alors qu’en vertu des lois déjà établies par le Parlement, ce soulèvement populaire a été reconnu comme un mouvement pour la démocratisation de la nation.
Le chef de l’Etat a alors martelé que si la liberté d’expression est largement garantie, elle ne devrait pas l’être pour les paroles et les actes pouvant détruire la démocratie.