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Politique

Yoon Suk-yeol de retour après une visite à Madrid pour le sommet de l’Otan

Write: 2022-07-01 14:08:16Update: 2022-07-01 14:16:26

Yoon Suk-yeol de retour après une visite à Madrid pour le sommet de l’Otan

Photo : YONHAP News

Le président de la République est rentré aujourd’hui, après avoir participé, à Madrid, au sommet de l’Otan, qui a invité cette année ses quatre partenaires de l’Asie-Pacifique, dont la Corée du Sud. Il s’agit de ses premiers pas en diplomatie multilatérale depuis son investiture en mai.

Yoon Suk-yeol s’est exprimé devant les dirigeants de l’Alliance atlantique. Une allocution dans laquelle il a sollicité l’intérêt de la communauté internationale à la dénucléarisation de la Corée du Nord. Et de s’engager à travailler main dans la main avec les Etats membres de l’organisation, soulignant que la liberté et la paix ne peuvent être garanties que par la solidarité mondiale.

En marge de cette assise, le numéro un sud-coréen s’est entretenu avec les chefs d’Etat ou de gouvernement d’une dizaine de pays sur le dossier atomique nord-coréen et la coopération économique.

Avec en point d’orgue la rencontre à trois avec Joe Biden et Fumio Kishida. Une telle entrevue n’avait pas été organisée depuis quatre ans et neuf mois. Leurs discussions se sont focalisées sur la collaboration entre leurs pays face à la menace nucléaire et balistique de Pyongyang.

Néanmoins, les trois hommes n’ont pas échangé sur les éventuelles sanctions plus musclées à l’encontre du régime de Kim Jong-un. A ce propos, le Bureau présidentiel sud-coréen a tenu à évoquer le fait que les mesures punitives contre des entités et des individus nord-coréens sont d’ores et déjà préparées. Autres sujets abordés, ils concernent l’engagement de Washington de fournir à Séoul une dissuasion élargie et la réponse à donner en cas de nouvelles provocations du Nord.

La politique de l’administration Yoon vis-à-vis de l’Etat communiste consiste à amener celui-ci à changer son attitude en accentuant la pression sur lui de concert avec la communauté internationale. Mais, elle aura du mal à persuader la Chine et la Russie de prendre parti pour elle.

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