A Vienne, le second vice-ministre des Affaires étrangères Lee Do-hoon a demandé mardi au secrétaire général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, de continuer à étudier la sûreté du plan de rejet des eaux usées de la centrale accidentée de Fukushima au Japon.
Le diplomate sud-coréen a appelé à une communication plus active de l'institution avec les nations qui seraient touchées par le déversement des eaux contaminées comme la Corée du Sud et des pays insulaires du Pacifique. Il lui a demandé également que des organismes et des centres de recherche sud-coréens puissent continuer à prendre part aux missions de l’AIEA.
Par ailleurs, Lee a évalué que la surveillance des activités nucléaires nord-coréennes par l’agence contribuait à sensibiliser la communauté internationale à la question.