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La patineuse de vitesse sur courte piste Choi Min-jeong disqualifiée en finale du 500 m
La patineuse de vitesse sur courte piste Choi Min-jeong a été disqualifiée en finale du 500 m. Elle a franchi la ligne d’arrivée en deuxième position, derrière l'Italienne Arianna Fontana. Cependant, après avoir vérifié la vidéo de l’épreuve, les arbitres ont jugé qu’elle avait commis un « impeding », c’est-à-dire qu’elle a touché ou poussé volontairement un adversaire. Elle a ainsi été privée de sa médaille d’argent. Choi a pleuré à chaudes larmes, mais elle n’a pas manifesté de mécontentement à l’égard de sa pénalité. « C’est le jugement des arbitres, que voulez-vous… Je suis satisfaite de ma course et je n’ai aucun regret. Je m’y étais préparée avec ardeur et j’étais décidée à ne pas regretter le résultat. Je dois l’accepter et me concentrer sur les autres matchs. […] Je suis désolée de ne pas avoir répondu aux attentes de ceux qui m’ont soutenue. C’est grâce à leur soutien et à leur intérêt que j’ai pu me qualifier pour la finale et mener une bonne épreuve. […] Il reste l’épreuve du 1 500 m. C’est ma spécialité, donc je devrais avoir plus confiance en moi. Et je vais également concentrer tout mon attention sur les prochains matchs qui sont le 1 000 m et le relais pour obtenir de bons résultats. Alors, je vous prie de continuer à me soutenir ». (Photo : Yonhap)
2018-02-14

Ici, PyeongChang

Les JO, le rendez-vous des collectionneurs de badges olympiques
Dans les parcs et les villages olympiques de Pyeongchang et de Gangneung, on croise souvent des gens qui portent un grand nombre de badges sur eux. Quand ils trouvent d’autres personnes qui portent des badges qui les intéressent, ils leur proposent un échange. Il y en a même qui se sont rendus à PyeongChang uniquement pour échanger ces insignes olympiques. Beaucoup d’athlètes qui participent aux Olympiades sont également amateurs de ce type de badges. Il est de coutume qu’après les matchs, ils en échangent avec des joueurs étrangers. Les badges olympiques ont vu le jour lors des 1er Jeux olympiques d’Athènes. A l’époque, ils servaient à distinguer les arbitres, les athlètes et les autres participants à l’événement. Comme ils n’apparaissaient qu’au moment des Olympiades, les collectionneurs et les amateurs les convoitaient. Puis la demande pour ces insignes a progressé, et la pratique de leur échange s’est généralisée. Sur le site de ventes aux enchères eBay le prix d’un badge du Comité international olympique lors des Jeux olympiques d’Athènes de 1906 est fixé à 5 000 dollars et celui d’un assortiment d’insignes des Jeux de Moscou en 1980 à 3 500 dollars. La mascotte des Olympiades de Séoul, « Hodori », figure aussi sur la liste des ventes. (Photo : Yonhap)
2018-02-14

Ici, PyeongChang

Quels sont les souvenirs les plus prisés dans les boutiques olympiques ?
Avec l’ouverture des Jeux olympiques, la popularité de leurs souvenirs monte en flèche. Dans le parc olympique de Gangneung, il y a une grande boutique où se vendent environ 1 100 produits de ce type tels que la mascotte de l’événement « Soohorang » et celle des Paralympiques « Bandabi », des gants et des badges. Ce magasin est toujours rempli de touristes, d’athlètes et d’intéressés de la manifestation sportive. Alors, parmi ces articles, lesquels sont les plus appréciés ? Ce sont les poupées de « Soohorang et de « Bandabi ». La plus grande partie des clients choisissent ces mascottes. Les étrangers préfèrent notamment celles en hanbok, le costume traditionnel coréen. D’autres marchandises populaires sont des badges, des gants, des chapeaux et des foulards. Les produits contre le froid sont notamment plébiscités par ceux qui ne s’attendaient pas à un tel temps glacial à PyeongChang. Des souvenirs classiques comme du chocolat, des mugs, des gobelets sont également populaires. Si on ne veut pas se déplacer dans ce magasin ou faire la queue devant la caisse, on peut faire des achats via l’application mobile baptisée « PyeongChang 2018 Smart Pick ». Ce logiciel permet de commander des produits avant d’aller les chercher au guichet de récupération dans la boutique. On peut également utiliser les distributeurs automatiques de souvenirs installés dans le parc olympique de Gangneung et l’Olympic Plaza de PyeongChang. (Photo : Yonhap)
2018-02-14

Ici, PyeongChang

Ski de bosses : les espoirs de médaille des sud-Coréens douchés
Le lundi 12 février a eu lieu le 2e tour de la finale du ski de bosses masculin. Choi Jae-woo, très attendu pour apporter une toute première médaille olympique à son pays, a été malheureusement disqualifié dans la dernière minute de sa course. Il a manqué un saut. Son erreur a déçu tous les amateurs de ski sud-coréens qui avaient tant espéré une première médaille dans cette discipline car la Corée du Sud, qui est par ailleurs très forte en patinage de vitesse, n’a jusqu’ici décroché aucune médaille en ski. Choi, qui a débuté ce sport à l’âge de 4 ans, a enregistré des records remarquables dans les dernières compétitions internationales, ce qui a suscité l’espoir de ses compatriotes. Abattu, le skieur n’a pas eu la force de sortir de la piste pendant un moment, avant de se relever grâce aux cris d’encouragement de ses supporters. Lors d’une interview accordée à la presse après sa course, il a déclaré qu’il allait à nouveau relever le défi dans quatre ans, à Pékin. Ce qui est tout à fait envisageable car, né en 1994, il est encore bien trop jeune pour abandonner son rêve. (Photo:Yonhap)
2018-02-13

Ici, PyeongChang

La course émouvante d’une patineuse sud-coréenne
Le 12 février s’est tenue la course de patinage de vitesse sur piste courte féminin sur 1 500 m. Parmi les patineuses sud-coréennes, il y avait Noh Seon-yeoung. Elle a terminé 14e avec 1 min 58,75 s. Ce n’est pas un score remarquable pour la Corée du Sud mais c’est son histoire personnelle qui a donné un coup d’émotion. En effet, elle avait rencontré des obstacles pour participer à cet événement. Le 22 janvier, à moins d’un mois de l’ouverture des JO de PyeongChang, une nouvelle consternante lui est tombée dessus : elle ne pourrait pas participer à l’événement à cause d’une erreur administrative de la Korea Skating Union, l’organisation sud-coréenne chargée des compétitions de patinage. Totalement désespérée, elle était d’autant plus triste en pensant à son petit frère Noh Jin-gyu qui a perdu la vie sans pouvoir réaliser son rêve : lui-même était patineur avant sa mort d’une tumeur osseuse à l’épaule. Et puis ce fût le renversement de situation : elle a décroché à nouveau le droit de participer aux JO tenus dans son propre pays suite à la disqualification de deux sportifs russes. Après la course, elle a remercié tous ceux qui l’avaient encouragée et elle a dit que son petit frère serait sans doute content de sa performance. (Photo:Yonhap)
2018-02-13

Ici, PyeongChang

NBC oblige les patineurs artistiques à se lever plus tôt
Le 12 février encore, l’épreuve de patinage artistique par équipe s’est déroulée à l’Ice Arena de Gangneung. Contrairement à l’habitude selon laquelle les compétitions de ce sport se déroulent le soir, elle a débuté cette fois-ci à 10 heures du matin, heure locale. Ainsi les patineurs ont dû démarrer leur dernier entraînement dès 6 heures du matin et se sont présentés sur les lieux de la compétition avant 8 heures, un rythme de compétition auquel ils ne sont pas habitués. Par conséquent, les athlètes ont fait plus d’erreurs. Les spectateurs, quant à eux, ont dû assister à leur discipline préférée à des heures inhabituelles. Comme la compétition s’est poursuivie à l’heure du déjeuner, ils ont dû résister à la faim pour assister à toutes les performances. Les raisons de cette avance exceptionnelle de l’heure d’ouverture de l’épreuve ? Les experts évoquent l’intervention possible des Américains. Car c’est la chaîne américaine qui possède les droits exclusifs de retransmission des compétitions dans son pays. Or, elle aurait voulu diffuser cette discipline, qui est une des plus appréciées de ses téléspectateurs, à des heures convenables et aurait ainsi usé de son influence auprès du CIO, qui peut difficilement refuser la demande de cette chaîne qui paie les droits de retransmission les plus élevés. (Photo:Yonhap)
2018-02-13

Ici, PyeongChang

Pour le plus grand plaisir des bénévoles...
Dans l’idée d’encourager les bénévoles et de leur faire un petit plaisir, le Comité d’organisation leur a préparé des programmes spécialement pour eux. En l’espace de cinq semaines – trois pour les Jeux olympiques et deux pour les Jeux paralympiques –, 15 sessions de ces programmes sont prévues, c'est-à-dire trois par semaine. Ainsi les bénévoles peuvent en bénéficier les jours de repos. Dans les programmes, il y a des séminaires, des programmes d’orientation réservés aux demandeurs d’emploi ainsi que des représentations artistiques. Tout d’abord, pour les séminaires, des conférenciers qui ont fait une carrière professionnelle dans différents domaines sont invités pour aborder plusieurs thèmes. Leurs profils sont divers : le président d’une université, un professeur et une animatrice d’émissions de téléshopping. Ensuite, pour les jeunes bénévoles qui sont ou qui vont bientôt être à la recherche d’un emploi, POSCO et EF, deux entreprises sponsors de l’événement de Pyeongchang, vont trouver un moment pour les rencontrer et pour leur donner des informations qui seront utiles pour trouver un travail. Enfin, pour les représentations artistiques, il y a des spectacles de pop-opéra, de danse moderne, de magie et de saxophone.
2018-02-13

Ici, PyeongChang

Une photo qui symbolise le message de paix de ces Jeux
Une photo en provenance de Pyeongchang circule ces jours-ci sur internet et fait beaucoup parler d’elle. Elle a été prise lundi au centre de ski de fond d’Alpensia, où s’est déroulée ce jour-là l’épreuve masculine de skiathlon de 30 km. Dans cette course, Kim Eun-ho qui représentait seul la Corée du Sud a battu de l’aile au dernier rang, bien loin des autres. A ce moment-là, une équipe d’entraîneurs nord-coréens qui étaient là pour l’entraînement de leurs athlètes ont aperçu leur compatriote du Sud et lui ont adressé des cris d’encouragement. Et un journaliste n’a pas manqué de prendre cette scène en photo. Sur la photo, les deux entraîneurs en manteau long rouge et blanc se trouvent derrière le skieur sud-coréen. Ce dernier n’a malheureusement pas pu terminer sa course. Mais cette photo a ému les internautes sud-coréens. Pour ces derniers, ce petit cliché symbolise le message des JO, la paix, et aussi celui de la Corée réunifiée et il ne sera pas oublié pour longtemps. (Photo:Yonhap)
2018-02-13

Ici, PyeongChang

La délégation norvégienne commande des dizaines de milliers d’œufs en trop
Une histoire insolite nous vient du camp norvégien. Les cuisiniers norvégiens qui ont débarqué aux villages des athlètes à Pyeongchang avec leurs sportifs ont voulu commandé 1 500 œufs. Pour passer leur commande dans la langue coréenne, ils ont eu recourt au service de traduction de Google. Or, une erreur s’est glissée au cours du processus : un zéro a été ajouté à ce nombre, et les Norvégiens se sont retrouvés avec dix fois la quantité d’œufs qu’ils souhaitaient. Selon le cuisinier en chef qui a accordé une interview au quotidien de son pays, Aftenposten, des cartons d’œufs défilaient sous ses yeux, de quoi remplir la moitié d’un camion. Heureusement, ils ont pu se faire rembourser le volume en excès, soit 13 500 œufs. On ignore encore l’origine de cette erreur. Mais cette anecdote a fait rire toute la délégation de ce pays d’Europe du Nord, qui en a profité pour immortaliser l’instant en photo avant de partager le cliché sur les réseaux sociaux. (Photo:Yonhap)
2018-02-13

Ici, PyeongChang

Le village olympique au service du bien-être des athlètes
C’est dans le village olympique que les athlètes passent la plupart de leur temps en dehors de l’entraînement et des compétitions. Ainsi, le Comité d’organisation des JO de PyeongChang a tâché de faire en sorte qu’ils ne manquent de rien. Divers équipements sont mis en place pour assurer le bien-être et le confort des sportifs dans les immeubles flambant neufs. Par exemple, il y a le centre de remise en forme, le centre de divertissement, le centre de prières et même la galerie marchande. Sans oublier une zone d’expérience où on peut vivre la réalité virtuelle. Le comité a pensé même aux plus petits détails de la vie des athlètes. Ainsi, il a fait installer à plusieurs endroits des paniers de préservatifs dont les sportifs se servent gratuitement. Environ 110 000 capotes sont à leur disposition, soit le plus grand nombre dans l’histoire des JO. Le lieu le plus populaire, c’est le centre de divertissement ouvert 24h sur 24. Il est équipé de tables de ping-pong, de billards américains, de fauteuils de massage ainsi que divers gadgets, y compris des consoles de jeux vidéo. Une cantine gigantesque est également ouverte 24h sur 24. Elle propose au total 406 variétés de nourriture sur six thèmes culinaires tels que la cuisine coréenne, la cuisine asiatique, la cuisine occidentale, les repas halal entre autres. Pour servir 180 plats ou desserts par jour, 180 cuisiniers professionnels travaillent à tour de rôle. Les athlètes sont invités à se régaler, mais avec modération pour garder la meilleur condition physique. (Photo : Yonhap)
2018-02-12

Ici, PyeongChang

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