Quant au principal parti d’opposition sud-coréen, le GPN, qui est aussi le premier parti du Parlement, il a indiqué qu’il allait désormais soutenir la politique d’ouverture de Séoul envers Pyongyang. Et c’est un véritable revirement, car jusque-là, il critiquait très vivement cette politique. Mais il semble que l’accord du 13 février ait changé pas mal de choses.

En revanche, son secrétaire général, Hwang Woo-yeo, a regretté que le gouvernement sud-coréen ait promis 400 000 dollars au Nord pour construire un centre vidéo pour les retrouvailles à distance des familles séparées par la frontière intercoréenne. Il aurait préféré une aide en nature. Il est vrai qu’on accuse très souvent la Corée du Nord de détourner l’assistance qui lui est versée en liquide.