De son côté, le président de Hyundai Asan, Cho Kun-shik,est revenu sur sa décision de se rendre à Gaeseong, là où sont implantées plus de 200 entreprises sud-coréennes qui emploient des ouvriers nord-coréens. Une visite qui devait avoir lieu aujourd’hui pour tenter d’obtenir la libération de son employé, indépendamment du voyage de la patronne du groupe Hyundai.

Le président de Hyundai Asan a annulé son déplacement afin d’attendre le résultat des négociations menées actuellement par le PDG du groupe Hyundai à Pyongyang au sujet de ce travailleur sud-coréen.