Le gouvernement sud-coréen a réagi immédiatement à la visite d’un groupe de parlementaires japonais au sanctuaire de Yasukuni, au lendemain de celle de trois ministres nippons.

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Cho Tae-young a déploré l’attitude de ces hommes politiques japonais qui s’oppose à la vérité historique d’autant que le temple shinto en question accueille des criminels de guerre et constitue ainsi un symbole de militarisme japonais. Du coup, il a appelé les hauts dignitaires japonais à s’en repentir.

L’officiel sud-coréen est revenu sur les propos tenus par le Premier ministre japonais Shinzo Abe qui voudrait réécrire l’histoire impériale. Selon lui, le gouvernement sud-coréen ne peut plus faire de concession au Japon notamment en ce qui concerne l’histoire entre les deux pays.