La classe politique se mobilise elle aussi pour trouver une solution au dossier du centre médical de Jinju, pouvant satisfaire les autorités de la province comme le syndicat.
Le nouveau chef du groupe parlementaire du Saenuri, le parti au pouvoir, a affirmé que non seulement le JMC, mais aussi beaucoup d’autres établissements publics connaissent des difficultés similaires et qu’il peut y avoir plusieurs explications à cela.
Choi Kyung-hwan a parlé en particulier d’une mauvaise gestion, d’un très puissant syndicat et de la nature elle-même des hôpitaux publics. Il a alors insisté sur la nécessité, non seulement pour le gouvernement mais aussi le Parlement, de se pencher sur les moyens de revoir et d’améliorer l’ensemble des centres de santé publics.
Dans le camp d’en face, le Parti démocrate, la principale force d’opposition, a affirmé que le gouvernement ne devrait pas accepter l’annonce de la fermeture de l’hôpital de Jinju.
Son patron Kim Han-gil a évoqué que la présidente Park Geun-hye avait pourtant promis l’élargissement des soins médicaux publics. Selon lui, si le JMC ferme, le gouvernement et le Saenuri seront confrontés à une violente opposition de la population.