Après que Kim Jong-un a fait exécuter son oncle et mentor, le Saenuri, la majorité présidentielle sud-coréenne, remonte au créneau concernant les droits de l’Homme dans le pays communiste.

Lors d’une réunion du conseil suprême du parti, le président de son groupe parlementaire Choi Kyong-hwan a souligné qu’il faut voter le plus tôt possible une proposition de loi sur les droits de l’Homme en Corée du Nord. Un texte a été déjà présenté, mais il n’a pas encore été adopté en raison d’un désaccord avec l’opposition.

Pour le numéro deux du Saenuri, on ne doit plus rester silencieux face aux violations des droits de l’Homme au nord de la péninsule. Il a demandé en parallèle aux sud-Coréens qui sympathisent avec les communistes de prendre position. Il les accuse de garder le silence sur la purge de Jang Song-thaek. Plusieurs autres membres du conseil suprême sont sur la même longueur d’onde.