Le Parlement sud-coréen appelle à réagir de manière plus ferme à la tentative révisionniste du gouvernement japonais qui s’inspire de plus en plus de son militarisme du passé.
 
Sa commission chargée de cette question a organisé une session plénière et demandé au ministère de l’Education, à la Fondation de l’histoire de l’Asie du Nord-est et à l’Institut national d’Histoire de Corée d’élaborer rapidement des mesures pour y faire face.
 
Après avoir entendu Seo Nam-soo, le ministre de l’Education, la commission a évoqué la gravité du problème des manuels d’histoire japonais et appelé les organismes concernés à considérer la question sous tous ses aspects, tout en recourant à la coopération avec les autres pays concernés.
 
La commission a également demandé au ministère de l’Education de suivre de près la publication d’un manuel d’histoire rédigé par la Corée du Sud, la Chine et le Japon, proposée l’année dernière par la présidente Park Geun-hye et d’engager plus activement le dialogue avec les autorités japonaises et chinoises.