La province de Gangwon, à laquelle appartient Pyeongchang, boude la nouvelle règle du CIO, qui selon elle ne peut pas être appliquée aux JO de 2018.
Selon son autorité, si elle doit délocaliser certaines épreuves, comme l’a évoqué le patron de l’organisation, une partie des stades actuellement en travaux doit être déconstruite. Cela coûterait plusieurs centaines de milliards de wons, alors que les organisations conjointes sont autorisées afin d’atténuer les coûts. De plus, les déplacer au Japon ne convient pas non plus au sentiment des sud-Coréens envers leur pays voisin.
L'Etat avait récemment demandé à la province de réduire l’envergure des infrastructures. Il a invoqué que les coûts de leur construction étaient trop élevés, alors que les moyens de les utiliser après les Jeux n’ont toujours pas été trouvés.