Le 4e sommet mondial sur la sécurité nucléaire vient de s’achever à Washington par l’adoption d’un communiqué. Pendant deux jours, les dirigeants de 52 nations ainsi que de quatre organisations internationales ont échangé leurs idées pour créer « un monde sans armes nucléaires ».

La menace du terrorisme nucléaire s’agrandit, d’après les participants. A travers ce communiqué, ils ont souligné la nécessité d’efforts supplémentaires de la communauté internationale afin d’empêcher les acteurs non-étatiques, comme des terroristes, de s’emparer d’armes nucléaires et de substances radioactives.

Séoul va soutenir les activités de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). C’est ce qu’a déclaré la présidente sud-coréenne au cours du déjeuner de travail qui s’est déroulé quelques heures avant la clôture du sommet. Selon Park Geun-hye, il est important de développer des normes, comme celles de l’AIEA, que l’on peut appliquer sur le terrain.

A cette occasion, la locataire de la Maison bleue a également présenté trois actions à prendre au lendemain de ce sommet : l’élargissement et le renforcement du rôle des organisations internationales, le renforcement des lois et des normes sur la sécurité nucléaire et enfin le renforcement de la coopération entre les pays membres.

La présidente Park doit s’envoler, demain, pour le Mexique où elle sera reçue par son homologue mexicain Enrique Peña Nieto. Une grande partie de leurs discussions sera consacrée aux moyens de faire participer les entreprises sud-coréennes aux projets de construction des infrastructures de ce pays d’Amérique du Nord et d’élargir le commerce et les investissements entre les deux pays.