Les directeurs généraux en charge du dossier des « femmes de réconfort » aux ministères des Affaires étrangères sud-coréen et japonais se sont retrouvés aujourd’hui à Séoul. Au menu de leurs discussions : les mesures d’accompagnement de l’accord conclu fin 2015 par Séoul et Tokyo.
 
Ce pacte prévoit, en particulier, la création d’une fondation pour l’aide aux victimes de l’esclavage sexuel. Le Japon s’est alors engagé à y verser 1 milliard de yens.
 
La fondation a officiellement vu le jour le 28 juillet. C’est donc la première fois depuis son lancement que les consultations ont eu lieu. Aujourd’hui, celles-ci ont alors été très largement consacrées à la destination concrète de cet argent ainsi qu’à la date de versement du milliard de yens par Tokyo.