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Politique

Femmes de réconfort : le pouvoir et l'opposition toujours divisés sur l'accord Séoul-Tokyo

Write: 2016-12-28 14:04:25Update: 2016-12-28 16:42:12

Femmes de réconfort : le pouvoir et l'opposition toujours divisés sur l'accord Séoul-Tokyo

Aujourd’hui, cela fait un an jour pour jour que la Corée du Sud et le Japon ont conclu un accord sur l’épineuse question des femmes de réconfort. L’heure est au bilan de la première mise en oeuvre des mesures promises dans le cadre de ce pacte qualifié alors d’historique.
 
Pour le ministère sud-coréen des Affaires étrangères, cette dernière année, l’accord a été pleinement mis en oeuvre : comme il s’y était engagé, Tokyo a bel et bien versé 1 milliard de yens afin de mettre en place une fondation de soutien à ces anciennes victimes du système d’esclavage sexuel.
 
Lors d’un point de presse, son porte-parole Cho June-hyuk a aussi évoqué le fait que 34 des 46 « wianbus » encore en vie au moment de la signature du traité l’ont accueilli positivement. Selon lui, les responsables de la nouvelle fondation envisageraient de s’entretenir avec celles qui vivent dans des établissements.
 
En revanche, les partis de l’opposition, qui avaient dénoncé un accord humiliant depuis le début, continuent de réclamer son abandon immédiat et des renégociations.
 
Dans ce contexte, depuis que le Parlement sud-coréen a voté le 9 décembre la motion de destitution contre la présidente Park Geun-hye, le gouvernement nippon craint que Séoul ne revienne sur cet accord face à la grogne qui monte dans le pays du Matin clair.

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