Aller au menu Aller à la page
Go Top

Politique

Femmes de réconfort : le manque de procédures locales met en péril l'accord Séoul-Tokyo

Write: 2017-01-16 16:13:09Update: 2017-01-16 16:27:26

Femmes de réconfort : le manque de procédures locales met en péril l'accord Séoul-Tokyo

Le président de l'Assemblée nationale estime que le manque de procédures domestiques appropriées en Corée du Sud a donné lieu à une controverse incessante sur l'accord Séoul-Tokyo de 2015 portant sur les « femmes de réconfort ».
 
Chung Sye-kyun en a fait part, lors d'une rencontre avec une délégation parlementaire nippone en marge du Forum parlementaire Asie-Pacifique (FPAP) qui s'est ouvert aujourd'hui en République des Fidji. Selon lui, le gouvernement sud-coréen a échoué à discuter pleinement avec les ex-esclaves sexuelles de l'armée impériale nipponne et à obtenir un consensus national sur le sujet.
 
Toutefois, Chung a tenu à affirmer que le mieux serait de respecter un tel traité signé entre les deux pays sans y attacher pour autant de conditions supplémentaires. Il a ainsi regretté que le conflit bilatéral autour de ce dossier perdure en raison de l'insuffisance de telles procédures.
 
Le patron du perchoir a poursuivi que nombre de sud-Coréens sont profondément déçus des remarques tenues par le Premier ministre japonais sur ce dossier sensible des « wianbus » qu'il qualifie d'un des facteurs envenimant la situation.
 
A son tour, Hirofumi Nakasone, un des membres de la Chambre haute, a laissé entendre que différentes opinions et critiques pourraient être évoquées tant dans la péninsule que sur l'archipel. Il a ajouté que pour l'heure, la priorité serait de guérir les blessures émotionnelles des victimes et que le Japon ferait de son mieux en ce sens.

Contenus recommandés

Close

Notre site utilise des cookies et d'autres techniques pour offrir une meilleure qualité de services. En continuant à visiter le site, vous acceptez l'usage de ces techniques et notre politique. Voir en détail >