L’opposition continue de tirer à boulets rouges contre Kim Ki-sik, le tout nouveau patron du FSS, l’organe exécutif de l’autorité de régulation financière, et la Maison bleue qui le défend.
Le Parti Liberté Corée, la première force de l’opposition, a soulevé un nouveau soupçon pesant sur lui. Kim aurait blanchi plusieurs dizaines de millions de wons de fonds politiques lorsqu’il était député de l’UDNP, l’ancien nom du Minjoo, la formation de Moon Jae-in.
De son côté, le Parti Bareun-Avenir s’en est pris frontalement à la Cheongwadae aujourd’hui et a exhorté en même temps le Parquet d’ouvrir au plus vite une enquête impartiale sur Kim et ses actions illégales.
Le Minjoo, lui, a dénoncé une critique excessive et non fondée.
L’affrontement entre les deux camps rivaux continue de bloquer les travaux parlementaires, qui devaient reprendre en session extraordinaire.