La 48e session du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) s’est ouverte hier dans la cité internationale de Songdo à Incheon.

Des représentants, des scientifiques et des experts environnementaux des 195 pays membres de cet organe des Nations unies s’y sont réunis. Leur mission principale de cette année : approuver le rapport spécial sur les conséquences planétaires d’un réchauffement à 1,5°C.

Dans un discours qu’il a prononcé lors de la cérémonie d’ouverture, le président du GIEC, le sud-Coréen Lee Hoe-sung a qualifié la réunion de Songdo de la plus importante de l’histoire de l’organe. Il a précisé avoir écouté de nombreuses opinions d’experts du monde entier et de responsables gouvernementaux avant de rédiger le rapport.

Le président Moon Jae-in est lui aussi intervenu par visioconférence. Dans son message, il a souligné que le problème du changement climatique devrait être absolument tranché aussi bien au niveau de la justice environnementale que sur le plan de la démocratie. Et d’ajouter que pour cela, le monde entier doit agir.