Afin de tenter de calmer le jeu, le président du comité d’urgence du Parti Liberté-Corée a présenté des excuses aux familles des victimes de la répression meurtrière du mouvement de Gwangju ainsi qu’aux citoyens de cette ville située dans le sud-ouest du pays.

Dans une conférence de presse accordée aujourd’hui, Kim Byong-joon a précisé que les propos tenus par trois des députés de son parti avaient bel et bien déformé les faits historiques au-delà de ce que les divergences d’interprétation peuvent permettre.

Il s’est alors engagé à faire en sorte que le comité d’éthique de sa formation tranche l’affaire.