Le candidat du Minjoo, le parti au pouvoir, à la présidentielle de 2022, a dévoilé aujourd’hui son projet pour la « Grande transition numérique » qui vise à agrandir le terrain numérique sud-coréen en installant une multitude d’infrastructures en la matière. Lee Jae-myung a ensuite souligné l’importance de transformer la crise en opportunité à travers cette mutation numérique. Il s’agit de son premier engagement présenté en personne.

L’ancien gouverneur de la province de Gyeonggi est actuellement en pleine réflexion afin de réorganiser son comité électoral de manière à simplifier son processus de prise de décision et de clarifier les responsabilités de ses membres.

De son côté, le Parti du pouvoir du peuple (PPP), semble avoir du mal à lancer le sien car Kim Chong-in, annoncé comme son président, a laissé entendre aujourd’hui qu’il n’allait pas accepter cette fonction.

Face à ce refus, Yoon Seok-youl, candidat de la première force de l'opposition à la présidence, n’a pas caché son mécontentement. Il a plutôt choisi de renforcer la cohésion au sein de son parti en participant à un déjeuner de travail avec des candidats de la primaire du PPP comme Choe Jae-hyeong, l'ex-chef de la Cour des comptes. Néanmoins les absences du député Hong Joon-pyo et de l'ancien élu Yoo Seong-min ont fait tache.