Les sud-Coréens devraient bientôt utiliser l’âge en années révolues dans tous les domaines judiciaires et administratifs.
Une sous-commission du comité législatif et judiciaire de l’Assemblée nationale a adopté aujourd’hui des projets de révision de la loi civile et de celle sur l’administration publique, qui stipulent ce système.
En principe, c’est l’âge au dernier anniversaire qui s’impose sur le plan juridique. Mais dans la vie quotidienne, les sud-Coréens indiquent leur âge selon le système énonçant que l’on a un an dès la naissance. Certaines lois utilisent l’âge atteint dans l’année, c’est-à-dire qui correspond à la différence entre l’année en cours et celle de naissance de l’individu en question.
Ces trois façons différentes causent donc une confusion dans les services administratifs.
Les projets de loi devraient être adoptés par le Parlement suite à une réunion de l’assemblée générale du comité.