Séoul a fait part de sa profonde préoccupation après la publication d’un nouveau rapport de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC).
Dans ce document rendu public vendredi dernier, l’organisation basée à La Haye a conclu que le régime de Bachar al-Assad était à l’origine d’une attaque au chlore à Douma en Syrie en avril 2018.
Dans un commentaire publié hier, le porte-parole du ministère sud-coréen des Affaires étrangères a affirmé que l’utilisation d’armes chimiques représentait une menace pour la paix et la sécurité mondiales et qu’elle ne pouvait être justifiée en aucun cas. Il a alors souligné que l’administration de Yoon Suk-yeol restait toujours fidèle à sa position, selon laquelle il faut identifier les utilisateurs de ces armes et en faire endosser la responsabilité.
La voix de la diplomatie sud-coréenne a ensuite ajouté que le pays du Matin clair soutenait les efforts des enquêteurs de l’OIAC pour faire la lumière sur l’attaque contre Douma et qu’il continuerait à agir de concert avec la communauté internationale pour abolir totalement les armes chimiques.