Le gouvernement a entamé une enquête sur la demande d’augmentation du nombre d’admis dans les facultés de médecine à partir de l’année scolaire 2025. Conjointement avec la KMA, l’association des médecins de Corée, ils sont convenus que les domaines médicaux essentiels étaient en crise, et ont décidé de se réunir chaque semaine pour en discuter.
L’examen s’est tout d’abord focalisé sur la demande d’augmentation du nombre d’admis dans 40 facultés de médecine du pays. Il semble que cette mesure se concentrera sur 17 établissements de petite taille de moins de 50 élèves pour hisser ce chiffre à au moins 80. Dans ce cas, le nombre d’étudiants supplémentaires dépassera les 500. L’exécutif a également présenté un plan visant à accroître étape par étape ce nombre à partir de l'année scolaire 2026 selon la capacité d'éducation des facultés.
Par ailleurs, afin de combler le vide médical en attirant des médecins dans les domaines médicaux essentiels, il a été décidé de rehausser les indemnités pour les services pédiatrique et obstétrique ainsi que celui destiné aux adolescents à partir de décembre, et d’y investir chaque année environ 210 millions d’euros.
Les gynécologues exerçant en dehors des grandes villes recevront un supplément de 770 euros par accouchement. Mais, les frais à la charge des mères ne seront pas augmentés. Cependant, pour la pédiatrie et la médecine de l’adolescence, les frais de consultation personnels dans les cliniques de quartier augmenteront d'environ 50 centimes d’euros à partir de décembre.