Alors que le patron du Minjoo est sorti ce matin de l’hôpital, la police a déclaré cet après-midi que la tentative de meurtre envers Lee Jae-myung pouvait s’expliquer par des convictions politiques erronées de son assaillant.

Lors d’un briefing à Busan, l’agence de police métropolitaine a expliqué que l’attaquant était mécontent de voir Lee en liberté. En effet, il a estimé que le chef du parti de centre-gauche n’avait pas été puni correctement après plusieurs reports de ses procès. Il aurait aussi voulu l’empêcher de devenir président de la République.

L’enquête policière s’est basée sur la science médico-légale numérique, des témoignages et des analyses de profiler.