Le gouvernement a annoncé qu’aucune anomalie n’avait été détectée à l’issue de ses nouveaux tests de contamination à l'uranium ou à d’autres métaux lourds de la mer Jaune. Des opérations effectuées tous les mois depuis juillet, après que les médias ont évoqué la possibilité pour la Corée du Nord d'y déverser des eaux usées de sa raffinerie d’uranium de Pyongsan.
En novembre, les tests ont été menés dans sept endroits différents : trois sur l’île de Gangwha, situés à proximité de l’estuaire de la rivière Ryesong coulant près de la raffinerie, deux près de la rivière Imjin traversant la zone frontalière et deux autres au large d’Incheon.
Les concentrations d’uranium ont affiché des niveaux normaux, à savoir en dessous de 30 ppb (parties par milliard), une valeur de référence pour l’eau potable dans tous les sites testés. Même constat pour celle de cinq métaux lourds, dont le cadmium, l’arsenic et le mercure.