C’est une première en Corée du Sud. Un organisme du ministère de la Justice vient de se prononcer pour la castration chimique d’un pédophile.
La commission sur les traitements, les soins et les détentions a annoncé que des médicaments seraient administrés tous les trois mois à un détenu répondant au nom de Park après la libération sur parole de ce dernier, afin de diminuer ses pulsions sexuelles.
Ce sera le premier cas de castration chimique au pays du Matin clair, après la légalisation de cette pratique en juillet dernier.
Park a été condamné quatre fois pour des viols commis sur des enfants de moins de 13 ans. En 2002, il avait écopé de trois ans de prison ferme et sept ans de détention dans un centre de rééducation.