Jusqu’ici, les auteurs ont souvent dû signer un contrat inéquitable avec leurs éditeurs en Corée du Sud. Ces derniers ne leur donnaient, par exemple, qu’une petite somme d’argent au moment de la signature du contrat et les privaient de certains droits. Mais c’est en train de changer. Les écrivains pourront désormais décider eux-mêmes s’ils souhaitent céder ces droits aux maisons d’édition et ils pourront aussi transférer leurs droits à une tierce personne, sans l’accord de l’éditeur comme c’était le cas jusqu’à présent.
 
La KFTC, l’autorité de supervision de la concurrence, espère que ces nouvelles mesures motiveront les auteurs et que cela contribuera au développement de l’industrie de la culture.