Le service national du renseignement (NIS) est toujours soupçonné d’avoir utilisé un programme de cyber espionnage de la société italienne Hacking Team pour surveiller illégalement des civils sud-coréens.
Alors que ces soupçons ne sont pas encore complètement levés, on a appris aujourd’hui que le NIS aurait tenté d’effectuer environ 200 piratages, mais qu’ils n’auraient pas réussi dans un nombre considérable de cas. Car leurs cibles n’ont pas ouvert les fichiers de hacking attachés à leurs e-mails.
Les agents du service d’espionnage avaient envoyé ces programmes en les cachant dans les courriers électroniques. Si on ne les ouvre pas, ils sont supprimés automatiquement deux mois après l’envoi.
Des membres de la commission parlementaire du renseignement ont eux aussi confirmé que le NIS leur avait bien fait part d’un tel nombre de tentatives de piratage.