Conséquence du contrôle renforcé des bateaux de pêche chinois naviguant illégalement dans les eaux territoriales sud-coréennes, en novembre, leur nombre a diminué de 57 % par rapport à il y a un an. A partir du début du mois, la police maritime sud-coréenne a commencé à utiliser des armes à feu collectives.
A en croire le service en charge des garde-côtes du ministère de la Sécurité publique, ce mois-ci, un total de 1 712 chalutiers chinois a pratiqué des pêches illégales en mer Jaune. Des chiffres comparables aux 3 953 en novembre 2015.
Le 7 novembre, Séoul avait informé les autorités compétentes de l’empire du Milieu de cet usage d’armes à feu collectives. La majorité des capitaines de chalutiers chinois en sont tenus au courant.
Pékin, lui aussi, surveille de près ses bateaux pour les dissuader de naviguer illégalement en mer Jaune.