« Free Joseon » a revendiqué l’attaque de l’ambassade de Corée du Nord en Espagne.
Dans un message posté hier sur son site Internet, le groupe anti-Pyongyang a écrit qu’il ne s’agissait pas de prendre d’assaut l’établissement, mais simplement de faire face à une situation d’urgence en son sein.
Il a souligné en caractère gras que contrairement à l’information publiée par les médias, ses activistes n’avaient pas frappé ni séquestré le personnel de l’ambassade, qu’ils n’ont pas non plus utilisé d’armes, et qu’ils étaient invités à l’ambassade. L’organisation a tout de même présenté aux autorités locales ses excuses pour le dérangement.
« Free Joseon » a également détaillé qu’à la demande du FBI américain, les deux parties avaient partagé certaines informations d’une valeur potentiellement considérable après s’être promis mutuellement de les garder secrètes. Du coup, il a qualifié leur fuite d’énorme trahison.
L’organisation a par ailleurs indiqué qu’aucun gouvernement n’était intervenu dans l’incident et que cette affaire n’avait aucun rapport avec l’entrevue de Hanoï entre Donald Trump et Kim Jong-un.