Le Bureau d'enquête sur la corruption des hauts fonctionnaires (CIO) met l'accent sur une préparation minutieuse plutôt que sur une exécution rapide du mandat d'arrêt contre le président Yoon Suk Yeol.
Etant donné que l’infériorité numérique a été avancée comme l'une des raisons de l'échec de la première tentative, la Police est mobilisée pour déployer un grand nombre d'effectifs. De plus, cette dernière intensifie la pression sur le Service de sécurité présidentielle (PSS) pour percer sa résistance. Elle envisage également d’en identifier les membres ayant empêché l’arrestation du chef de l’Etat pour les inculper d’entrave à l'exercice des fonctions publiques.
Le PSS compte jusqu'à 700 agents, équipés d’armes individuelles. Si ses responsables sont arrêtés, cela pourrait faciliter l'exécution du mandat d'arrêt contre Yoon, qui pourrait avoir lieu après le 13 janvier.