Le Japon a commencé en août dernier à rejeter dans le Pacifique des eaux contaminées de sa centrale nucléaire accidentée de Fukushima Daichi. C’est la compagnie d’électricité de Tokyo (Tepco), l’exploitant de la centrale, qui mène l’opération.
Or, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), qui la supervise, a publié mardi deux rapports : l’un sur ses travaux de vérification des eaux usées et l’environnement marin, l’autre sur les résultats de la mission sur place de sa task force dédiée après les premières évacuations des eaux.
Résultat : l’agence de Vienne estime que la Tepco dispose d’une capacité élevée à mesurer le niveau de radioactivité des échantillons prélevés. Cette information a été relayée par un haut responsable de la Commission sud-coréenne sur la sécurité et la sûreté nucléaires (NSSC), qui a consulté les documents.