L’argent utilisé dans les manipulations boursières sera désormais taxé.
Selon un responsable du Service national des impôts, puisque les manipulations boursières se réalisent avec des comptes sous des noms d’emprunt, il y a de fortes chances que l’argent sale y afflue. Il explique que, conformément au régime de bénéfice réel, le service a l’obligation d’imposer une taxe sur la donation et les droits de transmission à ces fonds illicites.
Par ailleurs, la Commission des services financiers (FSC) a décidé de fournir au Parquet et au Service national des impôts les résultats de ses propres enquêtes sur les transactions illégales.
Le ministère de la Coordination et des Finances va lui aussi réviser la loi concernée pour offrir des informations personnelles sur les personnes accusées de manipulation boursière au Service national des impôts.