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Programmes spéciaux

90 ans d’histoire radiophonique en Corée du Sud

2017-02-16

90 ans d’histoire radiophonique en Corée du Sud < Souvenirs sonores de l’histoire moderne coréenne >

  1. La période coloniale japonaise

    Alors que la Corée ployait sous le joug colonial japonais, ses chansons populaires ont été lourdement influencées par le style musical de l’occupant nippon. Un occupant qui a même interdit toutes les chansons en langue coréenne à partir de 1943.

    Cette époque troublée (Park Chae-seon & Lee Yoo-saek, 1921)Han Go-eun (Drama “Capital Scandal”)

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    Les larmes de Mokpo (Lee Nan-young, 1935)Joo Hyun-mi

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    Mon frère l’homme-orchestre (Park Hyang-rim, 1938)Moon Hee-ok

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  2. La libération et la guerre de Corée (1950-1953)

    La Seconde guerre mondiale se termine en 1945. Le Japon capitule et la Corée célèbre sa libération. Une joie qui s’exprime dans la chanson « Séoul heureuse », « c’était comme si on fêtait l’anniversaire de ses parents tous les jours », se souvient son parolier Yoo Hoo. Mais la joie est de courte durée : la péninsule est divisée entre un Sud sous tutelle américaine et un Nord sous emprise soviétique. Une atroce guerre civile s’ensuit, faisant des millions de victimes, transformant le pays en un épouvantable champ de ruines, et séparant à jamais des millions de familles par une frontière devenue infranchissable. Des souffrances reflétées par les chansons de l’époque.

    Séoul heureuse (Hyun In, 1948)Hyun In

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    Reposez en paix, camarades (Hyun In, 1950)Johnny Brothers

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    Miahri, la colline crève-coeur (Lee Hae-yun, 1956)Park Ae-ri

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  3. Industrialisation et démocratisation

    Le pays renaît rapidement de ses cendres et entame une spectaculaire croissance industrielle et économique. Un âge d’or musical s’ouvre. Le rock coréen naît dans les bases américaines dispersées sur la péninsule : de grands artistes dont le génial guitariste et compositeur Shin Jun-hyun commencent leur carrière en reprenant des chansons américaines dans les clubs pour « GIs », avant de métisser cette musique avec des influences locales pour la rendre populaire auprès du public sud-coréen. Après une période de répression et de censure des artistes dans les années 70, la musique populaire se diversifie, incorporant au passage les chansons des militants pro-démocratie des années 80.

    Le mec en chemise jaune (Han Myeong-sook, 1961)Ha Chun-hwa

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    La fille aux camélias (Lee Mi-ja, 1964)Lee Mi-ja

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    Rosée du matin (Kim Min-ki, 1971)Yang Hee-eun

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    Belle femme (Shin Joong-hyun & Yup Juns, 1974)Shin Joong-hyun

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    Cheveux courts (Cho Yong-pil, 1979)Cho Yong-pil

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    Ce soir (Kim Wan-sun, 1986)Kim Wan-sun

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  4. Mondialisation

    La Corée du Sud, ouverte et démocratique, est aujourd’hui considérée comme « le pays le plus connecté du monde ». Sur Youtube, c’est une chanson sud-coréenne, Gangnam Style du chanteur PSY, qui détient le record du nombre de vues, avec 2,7 milliards de visionnages. La vague K-pop a déferlé sur le monde entier et des fans sur toute la planète apprennent le coréen grâce à elle.

    Je sais (Seo Taiji and Boys, 1992)Seo Taiji and Boys

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    Gangnam Style (PSY, 2012)PSY

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    Cheer Up (Twice, 2016)Twice

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