A partir de septembre prochain, le nombre de touristes sud-coréens au mont Geumgang, en Corée du Nord, sera réduit de moitié. Il passera donc de 1 000 à 1 200 personnes par jour à environ 600. C’est ce que demandent les autorités nord-coréennes. Celles-ci ont expliqué leur demande par le départ de Kim Yoon-kyu, le vice-président de Hyundai Asan, le principal investisseur sud-coréen en Corée du Nord et l’organisateur des séjours touristiques.

Il a quitté ses fonctions de membre du conseil d’administration du groupe, soupçonné d’être impliqué dans une affaire de corruption. Il s’était engagé dès le début dans les projet du groupe avec la Corée du Nord.
La décision de Pyongyang risque de perturber les projets nord-coréens de Hyundai Asan.