Le sommet nucléaire mondial qui doit se tenir à Séoul l’année prochaine et qui doit réunir de nombreux dirigeants de divers pays servira à discuter de mesures « pratiques et concrètes » pour contrer la menace terroriste nucléaire, et pour assurer la sûreté de l’exploitation civile de l’énergie atomique.
C’est ce qu’a annoncé Kim Sung-hwan, le ministre sud-coréen des Affaires étrangères, à l’issue d’une rencontre préparatoire au sommet aujourd’hui à Séoul. Les représentants d’une cinquantaine de pays sont attendus dans la captitale sud-coréenne en mars 2012. La rencontre est devenue particulièrement médiatisée depuis le désastre de Fukushima, qui a incité certains pays, notamment l’Allemagne, à renoncer au nucléaire civil.
Kim Sung-hwan a déclaré espérer que le sommet de Séoul « ne serve pas seulement à renforcer les normes de sûreté nucléaire, mais aussi à promouvoir une plus grande confiance en l’énergie atomique. »