Si Séoul maintient ses sanctions imposées à Pyongyang, le gouvernement considère que les investissements des entreprises sud-coréennes dans le projet de reconstruction de la ligne de chemin de fer entre Rajin en Corée du Nord et Khassan en Russie ne sont pas concernés.
Quand la Corée du Sud a décidé ces sanctions le 24 mai 2010, deux mois après le torpillage nord-coréen de la corvette sud-coréenne Cheonan, il s’agissait notamment d’interdire aux entreprises sud-coréennes d’investir au nord de la péninsule. C’est ce qu’a affirmé la porte-parole ajointe du ministère de la Réunification.
Park Soo-jin a reconfirmé que le gouvernement sud-coréen maintiendra ses sanctions. Elle a ajouté que les entreprises étrangères ou les entreprises créées par des firmes sud-coréennes avec des sociétés étrangères, mais basées à l’étranger ne font pas l’objet de ces mesures.