Le président des Etats-Unis a relativisé l’étude du CSIS, un groupe de réflexion américain, selon laquelle Pyongyang posséderait au moins 13 bases secrètes de missiles.
Dans un tweet, Donald Trump a écrit hier que son pays était « parfaitement au courant » de leur existence et qu’« il n'y avait rien de nouveau ». Dans le même temps, il a qualifié d’inexacte l’information publiée par le New York Times, qui avait évoqué la « grande tromperie » de Pyongyang.
Le chef de la Maison blanche a ajouté que « rien de tout cela n'était anormal » et qu’il serait « le premier à informer les autres si les choses devaient mal tourner ». Il s’est ainsi voulu rassurant sur les négociations de dénucléarisation avec le Nord.
A Singapour où il se trouvait pour les conférences liées à l’Asean, son conseiller à la sécurité nationale a lui aussi a assuré que les Etats-Unis étaient bien informés de ce qui se passe dans le nord de la péninsule.
John Bolton a également déclaré que son président était toujours disposé à tenir un deuxième sommet avec le dirigeant nord-coréen début 2019.