En 2021, le taux de particules ultrafines (PM 2.5) a été au plus bas en Corée du Sud depuis 2015, l'année de l'établissement de cette observation. Il s'est établit à 18 ㎍/㎥ l'an dernier, soit une baisse de 30,8 % par rapport à 2015, l'année du précédent record.
Grâce à cette amélioration atmosphérique, le nombre de jours durant lesquels cette concentration a été de niveau « bon », autrement dit en dessous des 15 ㎍/㎥ a atteint 183, soit 190 % de plus toujours comparé à 2015.
Quant aux journées qui ont observé un rang « mauvais », elles ont reculé de 63 % sur la même période.
Les résultats sont d'autant plus significatifs qu'en 2021, les activités industrielles et logistiques étaient plus abondantes qu'au deux dernières années.
Le ministère de l'Environnement attribue cette embellie, non pas à la pandémie de COVID-19, mais à la fermeture de quatre centrales à charbon, à la mise en place d'un plafond pour les émissions des polluants atmosphériques dans les sites industriels, et aux mesures incitatives à l'arrêt d'usage des véhicules diesel vétustes.
Le ministère a également évoqué la réduction des particules ultrafines et des sables jaunes venus de Chine.