Le président de la République a proposé à la communauté internationale de partager ses expériences et de mobiliser le collectif pour que l’intelligence artificielle (IA) et les technologies numériques puissent favoriser la démocratie et protéger les individus et les sociétés. C’est ce qu’il a déclaré aujourd’hui, lors de la troisième édition du Sommet pour la démocratie, à l’hôtel Shilla, à Séoul. Yoon Suk Yeol a souligné que la démocratie ne pouvait pas être protégée par un seul pays, ni par une seule personne.
Le chef de l’Etat a aussi évoqué deux visages des technologies numériques. Selon lui, l’innovation de l’IA et des nouvelles technologies permet d’incarner un monde dont l’humain rêvait. Cependant, les fausses informations, aussi créées par l’IA et les technologies numériques, portent atteinte à la liberté et aux droits de l’Homme, voire menacent le système démocratique.
Le numéro un a rappelé que la Corée du Sud avait développé la démocratie en s’appuyant fermement sur les valeurs universelles de la liberté, des droits humains et de l’Etat de droit. Il a fait part de son souhait de partager les expériences du pays du Matin clair en la matière et de discuter de la coopération pour une meilleure démocratie dans l’avenir.