Une veillée aux chandelles a eu lieu à Paris pour recueillir le soutien des nations du monde entier afin de reconnaître l’esclavage sexuel des femmes par l’armée impériale japonaise durant la Seconde guerre mondiale.
Le conseil sud-coréen pour les femmes de réconfort a tenu hier cet événement hebdomadaire devant la Tour Eiffel.
Gil Won-ok, une des victimes de l’esclavage sexuel en temps de guerre par le Japon, a déclaré lors de ce rassemblement que le gouvernement japonais doit reconnaître les atrocités commises dans le passé. Elle demande également à la communauté internationale de s'unir pour exhorter Tokyo à présenter ses excuses.
Cette semaine, Amnesty International a publié une déclaration incitant le Japon à assurer que de tels actes ne puissent jamais se reproduire, en décrivant précisément le sort des femmes de réconfort dans ses manuels scolaires.